Eliot, Gaspard et moi ne sommes pas autorisés à retourner à Tokyo.
Pas avant fin Aout..."cette échéance pouvant être repoussée de nouveau si la situation n'était pas suffisamment sûre".
Je le sais depuis mercredi.
Depuis, je pleure, je me calme, j'hurle, je me raisonne.
Comprendre coule de source. Accepter beaucoup moins.
Aller de l'avant devient indispensable.
J'essaie.
Ne pas se projeter trop loin, mais juste assez pour trouver des objectifs et les atteindre.
En attendant d'être enfin réunis sous un même toit.
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